19 juin 2012

@valtrier « Rapport de l’UNICEF : 10% d’enfants pauvres en France. Une information qui mériterait l’indignation et la Une. » Ce tweet écrit par Valérie Trierwieler le 30 mai est passé complètement inaperçu. Le suivant, son soutien politique à Olivier Falorni, a fait le tour du monde. Qu’est-ce qui aurait du mériter l’indignation et la Une des médias ?

L’avenir de la France, c’est d’abord sa jeunesse. Mieux vaudrait s’y intéresser un peu plus.
C’est ce que font de nombreuses associations, souvent discrètement.

Parmi celles-ci, coop alternatives a choisi de s’investir aux côtés du Valdocco, fondé en 1995 à Argenteuil par un collectif d’habitants inquiets pour le devenir des enfants. Le projet de cette association, active dans le Grand Lyon depuis 2005, est basé sur une approche globale : rejoindre l’enfant, l’adolescent dans sa famille, à l’école et dans la cité. La prévention de la violence passe par le soutien à la parentalité, l’évitement du décrochage scolaire et la lutte contre le désœuvrement.

Si vous avez un peu de temps, soutenir des enfants et adolescents en difficulté dans leurs parcours est utile et passionnant.

« Ce qui est important, ce n’est pas que les jeunes soient aimés, mais qu’ils se sachent aimés », Jean Bosco

10% : selon un rapport de l’UNICEF, parmi les 15 pays européens les plus riches, seuls 2 pays ont un taux de privation des enfants supérieur à 10% : la France (10,1%) et l'Italie (13,3%).